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 NON, je ne me vaccinerai pas !

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MessageSujet: NON, je ne me vaccinerai pas !   NON, je ne me vaccinerai pas ! EmptyLun 31 Aoû - 11:55

Un article tres long mais tres instructif sur les vaccins de la fameuse Grippe A:

Citation :
La Pandémie actuelle !
mercredi 5 août 2009

popularité : 100%
Par Sylvie Simon


« Il n’existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ses fabricants savent bien qu’il ne sert à rien, mais continuent néanmoins à le vendre », estime le Dr. Anthony Morris, virologiste qui fut chef du contrôle des vaccins à la FDA. Nombreux sont ceux qui en sont avertis, aussi l’industrie pharmaceutique doit-elle trouver de nouveaux moyens de vendre ses vaccins à tout le monde.

Le plus efficace est la peur. Mais la peur doit s’appuyer sur quelque base et une « pandémie » est le meilleur support de la frayeur mondiale. Aussi, depuis plusieurs années, on nous répète que nous sommes menacés de mort par une « pandémie » de grippe aviaire, ce qui fait vendre les vaccins de la grippe saisonnière. Or, actuellement, c’est la grippe porcine qui a déclenché une véritable « pandémie », non de grippe mais d’hystérie.
Il ne faut pas oublier que ce n’est pas la première fois que règne une telle panique. Ainsi, en 1976, la première épidémie de grippe porcine s’est produite à Fort Dix, dans le New Jersey, où quelque 200 soldats ont été contaminés et certains en sont morts.

Le président Gerald Ford s’était alors fait vacciné à grand renfort de publicité devant les caméras de la télévision américaine, ce qui avait entraîné la vaccination de plus de 40 millions de personnes. Cependant, on dénombra très rapidement sept cents morts, dont 30 « inexpliqués » chez des gens âgés dans les heures qui suivirent l’injection, et plus de 565 cas de paralysie type Guillain Barré, 1 300 réactions adverses telles que de sévères complications neurologiques, des maladies de Parkinson, des inflammations articulaires et de multiples scléroses. La campagne, qui avait duré dix semaines, fut aussitôt suspendue, mais les dommages se sont élevés à 3,5 milliards de dollars.
Quant à la « pandémie » tant redoutée, elle n’arriva jamais, et le grand public a oublié ce scandale.

Cependant, nombreux sont ceux qui pensèrent alors (et qui pensent encore) que ce virus a été créé dans un laboratoire militaire. En effet, dès 1943, les Américains ont commencé à mener des expériences sur les armes bactériologiques à Fort Detrick où se trouve le célèbre laboratoire P4 de recherches militaires du Maryland puis, en 1975, le département des virus a été placé sous la supervision du National Cancer Institute (NCI). Dès lors la Marine américaine a élaboré des virus cancérigènes.

Nouvelle alerte fin 2004, lorsque Klaus Stijhr, coordinateur du programme de l’OMS contre la grippe, affirma, dans la revue américaine Science, qu’une pandémie de grippe aviaire pourrait rendre malade 20 % de la population mondiale, que près de 30 millions de personnes auraient besoin d’être hospitalisées et qu’un quart d’entre elles mourraient. Quant au directeur régional de l’OMS Shigeru Omi, en novembre 2004 il avait terrorisé les foules en annonçant : « les évaluations les plus prudentes font état de sept à dix millions de morts, mais le maximum pourrait être de cinquante millions ou même, dans le pire des scénarios, cent millions ». Ces chiffres virtuels ne pouvaient évidemment pas ressortir d’une information scientifique, mais s’apparentaient à une publicité destinée à promouvoir la consommation d’antiviraux.

En automne 2005, le Directeur général de l’OMS a récidivé et affolé les populations avec la grippe aviaire : « Si nul ne peut prédire quand elle frappera, une propagation internationale rapide est absolument certaine dès l’apparition d’un virus pandémique », ce qui représente « un grave danger pour tous les peuples ».

L’incitation à la vaccination annuelle contre la grippe, prônée depuis 1988 par la Caisse Nationale d’Assurances Maladie, a alors pris une ampleur particulière et les médias ont multiplié leurs efforts pour inciter la population à se faire vacciner. L’opération a parfaitement réussi et les stocks de vaccins anti-grippaux ont tous été liquidés, alors qu’il est notoire que le vaccin contre la grippe ne protège pas de la grippe aviaire, si tant est qu’il protège de la grippe banale.

En France, le ministre de la Santé Xavier Bertrand a alors commandé plusieurs dizaines de millions de vaccins H5N1 mutant et deux millions de doses du vaccin pré-pandémique qui n’ont servi qu’à creuser plus profondément le « trou de la Sécu ». Xavier Bertrand est coutumier du fait. N’oublions pas qu’il a tout fait pour aider la promotion du Gardasil®️ car il le considérait comme une « avancée majeure de santé publique », alors que la Haute autorité de santé n’avait pas encore rendu son avis sur ce vaccin qui est très contesté et coûte près de 450 euros pour les trois injections, plus les visites médicales.

Le 15 septembre, à l’ONU, on a beaucoup parlé des risques d’une pandémie de grippe humaine d’origine aviaire. Le président Bush et le Premier ministre français Dominique de Villepin ont appelé à une mobilisation internationale contre la grippe aviaire. « Si rien n’est fait, ce virus pourrait provoquer la première pandémie du XXIème siècle », a averti G. Bush devant l’Assemblée générale de l’ONU. « L’ampleur de la menace nous impose de réagir sans délai », a renchéri Dominique de Villepin, invitant à « conjurer le risque de pandémie ».

Le mois suivant, le président G. Bush a appelé à une mobilisation internationale contre la grippe aviaire, annonçant que 200 000 personnes au moins allaient en mourir, mais que ce chiffre risquait d’atteindre 2 millions rien qu’aux États-Unis. Il demanda au Congrès d’accorder 7,1 milliards de dollars pour faire face à cette menace. De la part de Bush, étant habitués à ses excès et ses mensonges — entre autres la peur irraisonnée du virus de la variole qu’il a propagée afin de faire vacciner des milliers de militaires —, nous ne pouvions être surpris.

De nombreux scientifiques s’interrogeaient alors ouvertement sur l’ampleur réelle de la menace d’une nouvelle pandémie humaine d’origine aviaire de type H5N1 et sur le bien-fondé de l’achat massif de Tamiflu®️. « Je sens comme une sorte d’hystérie sur la question du H5N1 », déclara Peter Palese, virologue à la Mount Sinaï School of Medicine de New York, dans le numéro du 18 novembre 2005 de la revue américaine Science.
À cette époque, la mort d’une oie ou d’un canard sauvage provoquait un reportage au JT.


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MessageSujet: Re: NON, je ne me vaccinerai pas !   NON, je ne me vaccinerai pas ! EmptyLun 31 Aoû - 11:55

Citation :

De nombreux précédents

Actuellement, nombre de virologues se demandent comment il se fait que l’épidémie actuelle apparaisse au moment même où la compagnie pharmaceutique Baxter International vient d’admettre qu’un vaccin expérimental a été contaminé par le virus H5N1 de la grippe aviaire. Ce mélange de virus de la grippe humaine H3N2 et de virus de la grippe aviaire H5N1 qui n’étaient pas correctement identifiés a été envoyé à une firme autrichienne qui a expédié des portions du mélange à des sous-traitants en République tchèque, en Slovénie et en Allemagne. C’est le sous-traitant tchèque qui s’est aperçu du danger et le Laboratoire National de Microbiologie du Canada a alerté l’OMS. D’après Alois Stöger, ministre de la Santé autrichien, 72 kilos auraient été contaminés. Comment ce laboratoire peut-il avoir « par accident » introduit les deux virus H5N1 et H3N2, dans le matériel vaccinal, alors que ce mélange de souches, appelé réassortiment, est l’une des deux manières de créer un virus pandémique ? D’autant que Baxter a adhéré à un ensemble de protocoles destinés à éviter la contamination par croisement viral.

Dans l’éventualité où une personne exposée au mélange serait infectée simultanément par les deux souches, elle pourrait servir d’incubateur à un virus hybride capable de se propager facilement d’un humain à un autre car, si le H5N1 ne contamine pas facilement les humains, le H3N2 en est capable.
Le laboratoire, qui a agi comme une organisation de terrorisme biologique envoyant des virus mortels à travers la planète, s’en est tiré en disant simplement : « désolé, c’est une erreur ! »
On s’est bien gardé de nous signaler que Baxter Pharmaceuticals a déjà été impliqué dans quelques graves scandales. En 1996 des composants contre l’hémophilie ont été contaminés, toujours « accidentellement » par le VIH, et injectés à des dizaines de milliers de personnes et, récemment, une substance contaminante non identifiée, responsable de 19 décès aux États-Unis — sans compter des centaines d’accidents graves — a été découverte dans des lots d’héparine du même laboratoire, qui a évidemment nié sa responsabilité. Cela n’a guère empêché l’Oms de lui commander un vaccin contre le virus H1N1.

Ce n’est pas, non plus, la première fois qu’on laisse s’échapper des virus d’un laboratoire. En 2005, un fabricant américain de kits utilisés dans les laboratoires pour tester leurs capacités de détection avait associé des ampoules du virus H2N2 à des milliers de kits de test. Cette erreur, découverte aussi par le Laboratoire National de Microbiologie du Canada, avait conduit les autorités du monde entier à un branle-bas de combat pour récupérer et détruire les ampoules contenant le virus.
Ces exemples nous permettent de juger de la compétence et du sens de la responsabilité de certains fabricants de médicaments.

Toutefois, depuis plus de huit ans, le virus H5N1 n’a jamais manifesté le moindre signe de mutation qui permettrait la transmission entre mammifères. « Le virus H5N1 a amplement eu le temps de muter ou de se réassortir avec des gènes d’un virus de grippe humaine, mais rien de tel ne s’est produit », rassure le Pr Peter Palese, chef du Département de Microbiologie à l’École de médecine du Mount Sinai à New York.
Actuellement, le virus de la grippe porcine n’est pas plus virulent (et peut-être moins) que les virus saisonniers qui ont sévi ces dernières années. Il lui manque une certaine protéine, présente dans le virus de 1918 et dans celui de la grippe aviaire H5N1 pour être un redoutable tueur.
Le chercheur australien Adrian Gibbs, l’un des créateurs du Tamiflu®️, a déclaré que ses investigations indiquent que ce virus a échappé au laboratoire qui l’a créé. Il est loin d’être le seul chercheur qui estime que le virus H1N1, qui comporte des souches très différentes, porcine, aviaire et humaine, ne peut être que le fruit d’une manipulation génétique. (cf. Australian Vaccination Network, Inc. / PO Box 177 / BANGALOW / NSW / 2479 Australia).

La résurrection du virus de la grippe espagnole

Ce nouveau virus rappelle celui qui est à l’origine d’une autre épidémie mondiale, connue sous le nom de la « grippe espagnole », et qui était aussi du sous-type H1N1.
Il faut savoir que la grippe espagnole, qui n’avait d’espagnol que le nom, s’est déclarée pour la première fois en 1918, dans le camp militaire de Fort Riley, au Kansas. Dans ce camp, avant leur départ pour l’Europe, les soldats cobayes furent massivement vaccinés contre la variole, la diphtérie, le tétanos, la rage et la typhoïde. Les médecins de l’époque notèrent qu’un grand nombre de soldats sont morts immédiatement après les vaccinations ou ont manifesté les symptômes des maladies dont ils étaient supposés être protégés.
On vaccina également la population civile et c’est après ces vaccinations de masse que l’épidémie dite de grippe espagnole qui a fait, selon les différentes estimations, entre 20 et 40 millions de morts en 1918, s’est déclarée aux États-Unis, puis propagée à travers le monde, car des milliers de soldats dûment vaccinés traversèrent alors l’Atlantique. Curieusement, la Grèce et quelques autres pays qui n’avaient pas accepté ces vaccinations de masse échappèrent comme par miracle à cette grippe.

Le Dr Dayton publia en mai 1921 dans le Journal de l’Institut Américain pour l’homéopathie, un article montrant que sur 24 000 cas de grippe traités par homéopathie, la mortalité fut de 1,05 %, alors que sans traitement elle fut de 28,8 %.
Après l’analyse d’un tissu pulmonaire d’une victime de la pandémie de 1918, le Dr Jeffrey Taubenberger a publié un rapport dans Science Magazine Report du 21 mars 1997, selon lequel le virus de la pandémie de 1918 était un nouveau virus porcin recombiné avec des fragments de virus aviaire (H5N1) et humains (H3N2) dans la structure même de leur ARN.
En 2003, des scientifiques de l’armée des États-Unis ont recréé en laboratoire le virus de la « grippe espagnole ». Le Projet Sunshine (Sunshine Project), organisation non gouvernementale qui essaie de faire respecter les interdictions concernant les abus de la biotechnologie à usage militaire, a signalé à l’époque que plusieurs gènes du virus extrêmement meurtrier de la grippe de 1918 ont été isolés et introduits dans des souches de grippe contemporaine. « Malgré la nature dangereuse du virus de 1918, les efforts visant à le reconstruire ont commencé au milieu des années 1990, lorsque le Dr Jeffrey Taubenberger de l’Institut de pathologie de l’armée des États-Unis à Washington a réussi à récupérer et à séquencer les fragments d’ARN viral à partir de tissus préservés de victimes de 1918. » (cf. The Sunshine Project, Lethal Virus from 1918 Genetically Reconstructed : US Army scientists create “Spanish Flu” virus in laboratory, 9 Octobre 2003. sunshine-project.org).

Le génome de ce virus avait complètement disparu de la face de la planète jusqu’à ce que l’armée américaine le ressuscite récemment à partir du cadavre congelé d’une personne morte de la grippe en 1918 en Alaska.
Ces expériences, qui présentent peu d’avantages sur le plan médical ou de santé publique, peuvent en revanche être facilement détournées à des fins militaires. À ce sujet, Jan van Aken, biologiste au Sunshine Project estime que la propriété génétique des souches de la grippe a d’importantes applications biomédicales, mais qu’il n’est pas justifié de recréer cette souche éradiquée particulièrement dangereuse qui pourrait causer des ravages si elle était relâchée dans l’environnement, délibérément ou accidentellement.


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MessageSujet: Re: NON, je ne me vaccinerai pas !   NON, je ne me vaccinerai pas ! EmptyLun 31 Aoû - 11:57

Citation :
Ceci explique peut-être cela

La situation actuelle me rappelle que, durant l’hiver 2004, certaines publications dites médicales ont suggéré que la varicelle était une maladie grave, très contagieuse, qui préoccupait les instances médicales, ce qui était parfaitement faux. Au fil du temps, les nouvelles se firent plus alarmantes, la maladie « évoluait vers des formes très sérieuses ». Enfin, au printemps, la varicelle était soudain devenue mortelle, tuant « même des enfants en bonne santé », et les cas se multipliaient de manière très inquiétante. « La France est au bord de l’épidémie », apprenait-on alors. Il est évident que ces rapports alarmants avaient une raison cachée d’être autant diffusés, et que les laboratoires n’étaient pas étrangers à ces « nouvelles angoissantes ».
La lumière s’est faite lorsqu’on nous a appris qu’un nouveau vaccin contre la varicelle, le Varivax®️, allait « prochainement être disponible ».

Le même scénario s’est renouvelé lorsque le vaccin contre la rougeole est apparu et il se renouvelle encore, et Sanofi Pasteur en est le grand gagnant. En effet, le 6 mai 2008, dans un communiqué de presse, Sanofi Aventis Pasteur MSD annonçait que la FDA venait « d’homologuer sa nouvelle unité de production de vaccin grippal située à Swiftwater, en Pennsylvanie qui produira 100 millions de doses lorsqu’elle fonctionnera à plein régime ». Et le 12 mai suivant, nous apprenions la construction d’une nouvelle usine pour 350 millions d’euros à Neuville-sur-saône.
Déjà, lors de son voyage en Chine en novembre 2007, Nicolas Sarkozy avait signé un accord pour la construction d’une nouvelle usine de vaccins anti-grippaux à Shenzhen. Notre président a récidivé le 9 mars 2009, en s’engageant à investir 100 millions d’euros pour construire une usine de production de vaccins contre la grippe saisonnière et pandémique au Mexique.
Alors que les maladies respiratoires tuent silencieusement chaque année des centaines de milliers de personnes à travers le monde, comment les instances de santé internationales osent-elles faire un tel cinéma au sujet d’une pandémie qui, au 21 juillet 2009, a causé 806 décès sur plus de 139 800 cas dans le monde dont la très grande majorité a guéri spontanément, et en France, à la même date, 483 cas confirmés dont aucun décès.
D’autant que qu’il n’existe aucune preuve médicale que les décès qui se sont produits à travers le monde sont attribuables au virus H1N1 de la grippe porcine et nous savons que la plupart des décédés avaient déjà eu des complications respiratoires. Cela s’est produit le 30 juillet, lorsque les medias nous ont appris qu’une jeune fille de 14 ans venait de mourir à cause du virus meurtrier. Après enquête, on a annoncé qu’elle souffrait avant la « pandémie » d’une grave maladie, compliquée d’une infection pulmonaire sévère, autre que la grippe.
Tout ce cirque et cet infirme pourcentage de mortalité (0,03 % alors qu’on s’attendait à 70 %) parviendront-il à justifier la commande française de 94 millions de doses de vaccins pour 1 milliard d’euros en pleine crise économique ?

Le 11 juin 2009, l’OMS a déclenché le niveau 6 d’alerte maximale face à la grippe porcine A (H1N1). Son directeur général, le Dr Margaret Chan, a déclaré que les critères scientifiques définissant une pandémie de grippe sont remplis et que la pandémie mondiale a maintenant commencé. N’oublions pas que Margaret Chan est responsable de l’abattage de 1,5 millions de volailles en Asie lors de la grippe aviaire qui fut bien loin d’être aussi dramatique que ce qui avait été annoncé.
Alors que tous les medias se ridiculisent en ne parlant que de cette « pandémie » galopante, le professeur de médecine Bernard Debré — pourtant vaccinaliste convaincu qui estime qu’il faut « renforcer la vaccination anti-grippale » — créait le 26 juillet, à l’UMP dont il est membre, un mini-tsunami en affirmant : « Cette grippe n’est pas dangereuse. On s’est rendu compte qu’elle était peut-être même un peu moins dangereuse que la grippe saisonnière. Alors maintenant, il faut siffler la fin de la partie ! ». Pour lui, on ne vérifie d’ailleurs plus si les malades ont attrapé le H1N1 ou un simple rhume de cerveau et la grippe A « reste une grippette, ce n’est ni Ebola, ni Marburg ». Il souligne qu’il n’y a que 800 cas répertoriés en France. « C’est une plaisanterie ! Va-t-on se mettre à comptabiliser les diarrhées ? ».

Pour sa part, le Dr Patrick Pelloux, président de l’Association des Médecins Urgentistes Hospitaliers de France, estime que s’il y avait un danger réel, c’est pour les hôpitaux publics qu’il faudrait agir car « la situation y est catastrophique et les fermetures de lits pires d’année en année ». Et il se demande comment l’État peut consacrer autant d’argent au vaccin alors que les hôpitaux sont justement en déficit d’un milliard d’euros.
Dans une interview accordée au journal Spiegel Online International le 21 juillet 2009, l’épidémiologiste Tom Jefferson a bien résumé la situation actuelle : « L’un des aspects extraordinaires de cette grippe — et de toute cette saga — est qu’il existe des gens qui font des prédictions chaque année, de plus en plus inquiétantes. Aucune d’elles ne s’est encore manifestée, mais ces gens s’entêtent à les répéter. Ainsi, qu’en est-il de la grippe aviaire qui devait nous tuer tous ? Rien. Mais cela ne les a pas découragés dans leurs prédictions. Parfois, nous avons l’impression qu’il existe tout un secteur industriel qui espère que cette pandémie va se produire ».
Ainsi, en Chine, pays de 1,3 milliard d’habitants, on a recensé 1 668 cas de H1N1 et aucun décès, mais la compagnie pharmaceutique Hualan Biological Engineering Inc a annoncé qu’elle pourra produire 600 000 doses de vaccin par jour. Ce comportement est-il logique ? Qu’a-t-il de commun avec une nécessité sanitaire ?

Ce n’est pas la grippe qu’il faut craindre mais plutôt le vaccin

Ainsi, d’après toutes ces considérations, ce n’est pas la grippe qu’il fut craindre mais plutôt le vaccin qu’on nous promet comme la panacée. Comme le dit le Dr William Frosehaver : « Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même ».
Déjà, son utilité est discutée par de nombreux professionnels. Ainsi, Antoine Flahaut, directeur de l’École des Hautes études en Santé Publique, estime que « le vaccin n’est pas très efficace, le virus mute sans arrêt, et des réservoirs animaux multiples ne permettent pas d’espérer un jour une éradication. D’ailleurs, aucun pays n’a à ce jour tenté une stratégie de barrière contre les épidémies saisonnières de grippe qui sont pourtant très meurtrières ».
Pour le Dr Rima E. Laibow, le vaccin « pandémique » serait surtout dangereux. Elle dirige le secteur médical de la Fondation des Solutions Naturelles, un groupe de vigilance citoyenne qui surveille l’industrie pharmaceutique et a été récompensé par le Carlton Lee Award de l’American Academy of Environmental Medicine. Elle a souligné le fait qu’il est impossible de créer un vaccin contre un virus qui n’existe pas encore. « Si un vaccin contre la grippe aviaire est développé dans sa forme pandémique, cela signifie que le virus pandémique devait déjà exister avant ». Selon elle, d’après les renseignements basés sur les déclarations de l’Institut National de la Santé et le fabricant du vaccin, la pandémie de grippe aviaire a déjà été créée par le génie génétique aux États-Unis, en fusionnant le génome mortel de la pandémie de 1918, mal nommée « grippe espagnole », avec l’ADN du virus inoffensif H5N1 dans une culture de croissance à base de cellules du rein de l’homme. « Certains virologues croient que cela permettra au virus mutant créé par l’homme de reconnaître les cellules humaines lui permettant ainsi de les envahir ». (cf. Rima E. Laibow, Weaponized Avian Flu Intelligence Report).

En avril 2008, dans la revue Nature Chemical Biology (Vol 4 - 248 -255), quatre chercheurs expliquaient qu’à une température extérieure de 30°C, la membrane du virus de la grippe est désorganisée, ce qui ne lui permet pas d’être contaminant. « La transmission virale est freinée à 20°C et elle est quasiment nulle à 30°C », alors qu’à une température de 5°C, la membrane est suffisamment stable pour qu’elle puisse créer un optimum de contamination. L’hygrométrie joue également un rôle : un air sec (20 à 35 % d’humidité relative) favorise la contamination par l’air.
C’est pour cette raison que la grippe ne sévit qu’en période hivernale. Nos « savants manipulateurs » peuvent-ils nous expliquer comment le virus de la grippe A résiste à des températures bien plus élevées puisqu’il sévit l’été dans des pays chauds.

À l’époque de la panique déclenchée par la menace de la grippe aviaire prétendue venir des oiseaux sauvages, le Dr Laibow demandait : « Compte tenu de la scandaleuse absence de preuve d’une quelconque menace d’un virus H5N1 qui ne soit pas de fabrication humaine, comment pouvons-nous expliquer que l’administration Bush dépense des milliards de dollars pour préparer chacun des cinquante États à ce qu’ils appellent “l’inévitable pandémie de grippe aviaire”, dont on prétend qu’elle pourrait tuer la moitié ou plus de tous les Américains et une proportion équivalente de personnes à travers le monde ? »
Le Dr Laibow craignait alors que la propagation volontaire d’agents pathogènes de grippe aviaire parmi la population puisse entraîner des mesures comme la loi martiale et la vaccination forcée ayant pour résultat des morts par millions et pense que ce risque pourrait être imminent. Le problème reste posé pour la grippe porcine.

En effet, le 25 juin 2009, Kathleen Sebelius, ministre de la Santé et des Services sociaux des États-Unis, a signé un document fédéral qui garantit l’impunité aux officiels de la Santé, aux fabricants du Tamiflu®️ et du Relenza®️ ainsi qu’aux laboratoires qui vont commercialiser les futurs vaccins contre la grippe et « les adjuvants qui leur seront associés ». Cela laisse supposer qu’elle sait qu’il y aura des dégâts, comme elle sait également que la plupart des grandes compagnies d’assurances refusent de couvrir les accidents qui pourraient découler de cette campagne. Ce refus est significatif.

Quelques scientifiques ont déjà essayé de combiner le virus de la grippe aviaire H5N1 à une souche de grippe humaine. N’oublions pas que, souvent, une certaine « recherche » est l’antre des apprentis sorciers. Personne ne peut nier que, dans certaines conditions, les deux types de virus pourraient échanger des gènes et permettre au virus H5N1 d’acquérir la capacité de déclencher une pandémie. « Il y a un risque que ce virus puisse se réassortir avec succès avec un virus humain », a déclaré Richard Webby, directeur du Centre de recherche sur la grippe à l’hôpital St-Jude de Memphis, au Tennessee, qui collabore avec l’Organisation Mondiale de la Santé.
Le professeur Stephen Block, biophysicien à l’université de Stanford, a plusieurs années d’expérience dans des recherches biologiques confidentielles réalisées pour le Pentagone et le gouvernement des États-Unis. Il a déclaré à ce sujet : « Nous sommes tentés de dire que toute personne saine d’esprit n’utiliserait jamais ces procédés. Mais ce n’est pas tout le monde qui est sain d’esprit ».

The New Scientist du 17 Avril 2007 signale que la recherche sur le vaccin de l’entreprise Sanofi a été réalisée par le NIH dans le cadre des efforts du gouvernement des États-Unis visant à se préparer à une pandémie de grippe. Et William Engdahl, spécialiste des questions de politique, géopolitique, économie, énergie, et agriculture, pose la question cruciale, c’est-à-dire : Est-ce qu’ils se préparent à une pandémie de grippe ou préparent-ils une pandémie de grippe ? « Pourquoi le gouvernement des États-Unis dépense-t-il des centaines de millions de dollars des contribuables pour stocker ce vaccin qui probablement ne fonctionnera pas lors d’une telle pandémie ? »
Pourquoi des milliers de personnes meurent-elles chaque année de la grippe sans que les medias y prêtent la moindre attention, alors que chaque cas de grippe porcine fait la une des journaux ?

Le 2 juillet 2008, le quotidien Daily Telegraph rapportait que trois médecins polonais et six infirmières faisaient face à des poursuites criminelles parce qu’un certain nombre de sans-abri étaient décédés à la suite d’essais d’un vaccin contre le virus H5N1 de la grippe aviaire. Ce qui a fait dire aux procureurs qui participaient à l’enquête que les essais avaient été réalisés avec un vaccin de ce virus hautement contagieux qui n’avait jamais été testé.
Le Dr Keiji Fukuda, spécialiste de la grippe à l’OMS, avait déjà annoncé le danger potentiel d’un vaccin non testé, ce qui va se reproduire avec le vaccin contre la grippe porcine. D’après la façon dont cette pandémie aviaire, puis porcine, a été annoncée, il semblerait que les compagnies pharmaceutiques et certaines agences gouvernementales n’ont qu’une idée en tête : terroriser la population et la pousser, sans avoir besoin de l’obliger, à se faire vacciner.

Selon l’hebdomadaire britannique New Scientist, l’épidémie actuelle a probablement commencé en 2003, dans le sud de la Chine. La vaccination massive des poulets depuis une épidémie semblable en 1997 aurait permis au virus de se développer dans cette région sans être détecté.
Au cours d’une émission de Jacques Pradel, le docteur Jean-François Saluzzo, virologue de l’OMS en charge du développement des vaccins contre les maladies virales émergentes, confirmait que la vaccination des poulets en Chine pouvait être très dangereuse car elle pourrait donner naissance à un virus qu’on ne pourrait plus contrôler.


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Citation :

La manipulation des citoyens

Barbara Loe Fisher, du NVIC (National Vaccination Information Center), constate : « Les citoyens de tous les pays sont aisément manipulés par des médecins et des politiciens qui répandent la peur sous prétexte de contrôler les maladies pour répondre à des desseins qui découlent d’idéologie, de pouvoir et de profits plutôt que de santé. Ces médecins ne savent toujours pas pourquoi le vaccin contre le virus porcin de 1976 a paralysé tant de personnes. Cela prouve bien qu’ils n’ont pas la moindre idée de ce qui peut advenir avec le futur vaccin qu’ils n’ont pas testé. »

À présent, Novavax, une compagnie pharmaceutique de Rockville dans le Maryland, vient d’annoncer qu’elle développe un vaccin contre le H1N1, basé sur des « particules apparentées aux virus » contenant trois protéines du virus de la grippe sans les gènes nécessaires à la réplication. L’annonce a été faite tout de suite après que la compagnie a annoncé une perte d’exercice financier de 36 millions de dollars.
 Le vaccin est produit grâce à des techniques de modification génétique des organismes c’est-à-dire des OGM. Parmi les futurs amateurs de ce vaccin, il y aura évidemment des anti-OGM convaincus qui trouveront naturel, non de les consommer par la bouche, mais de se les faire injecter directement dans le corps.
Il est surprenant de constater que tant de gens se proposent comme cobayes et réclament un vaccin non testé qui peut être plus mortel que la pire des grippes. Le pouvoir de la peur pour transformer les individus en moutons de Panurge est tout simplement incroyable.

Quoi qu’il en soit, l’hiver prochain, ceux qui seront en danger seront ceux qui auront accepté le vaccin comme cela s’est produit pour la grippe espagnole. Et s’il advient alors de nombreux décès comme nous le craignons si les gens sont toujours d’accord pour jouer à la roulette russe en servant de cobayes pour un produit non expérimenté, les médecins à la solde de « Big Pharma » nous expliqueront avec des trémolos dans la voix que le nombre de gens sauvés sera de loin supérieur à celui des gens sacrifiés. Il est évident que ces chiffres seront purement imaginaires, mais il est aussi évident que ceux qui auront abîmé leur système immunitaire par leur nourriture, une médication excessive, des vaccinations intempestives seront les premières victimes de n’importe quel germe pathogène.

Et le fait que la Société de pathologie infectieuse et la Société française de lutte contre le sida recommandent aux populations les plus fragiles de se faire vacciner contre le pneumocoque dès à présent pour contourner d’éventuelles difficultés logistiques en pleine épidémie à l’automne ne va pas améliorer l’état des systèmes immunitaires de ces « populations fragiles ».
En outre, l’incitation à la vaccination contre la grippe saisonnière en attendant que le vaccin pandémique soit prêt, ce qu’il ne sera pas en septembre, ni en octobre, ne va pas arranger la situation. En effet, le vaccin contre la grippe saisonnière ne protègera pas d’une « pandémie » de virus porcin, mais favorisera le passage des barrières d’espèces entre ces virus animaux et le virus humain, déjà bien préparé.

D’autre part, selon le Dr Meryl Nass, spécialiste du vaccin contre le charbon, les deux futurs vaccins H1N1 de Novartis et GlaxoSmithKline, contiendraient, non seulement les adjuvants classiques des vaccins contre la grippe, mais aussi de l’aluminium, et surtout du squalène afin de renforcer l’immunogénicité et de réduire de façon considérable la quantité d’antigène viral nécessaire. Or, les résultats d’une étude publiée en 2000 dans l’American Journal of Pathology ont démontré qu’une seule injection de squalène chez les rats provoquait « une inflammation spécifique et chronique des articulations » également connue sous le nom de polyarthrite rhumatoïde.

Il est exact que le squalène se trouve partout dans le système nerveux et dans le cerveau et que non seulement notre système immunitaire sait le reconnaître, mais aussi bénéficie de ses propriétés antioxydantes. Cependant, la différence entre le « bon » et le « mauvais » squalène consiste dans la manière dont il est introduit dans l’organisme. L’injection est une voie d’entrée anormale qui incite le système immunitaire à s’attaquer à tous les squalènes présents dans l’organisme, et non pas seulement à l’adjuvant du vaccin.
Aussi, le système immunitaire de notre organisme tentera de détruire cette molécule partout où il la trouve, y compris dans les endroits où elle s’est introduite naturellement et où elle est indispensable pour le système nerveux.
N’oublions pas que le squalène, adjuvant du vaccin expérimental contre le charbon, a été associé aux maladies dont souffrent d’innombrables soldats ayant participé à la guerre du Golfe.

Parmi les symptômes qu’ils ont développés, les plus graves sont l’arthrite, la lymphadenopathie, les maux de tête fréquents, la perte anormale de poils, les lésions cutanées incurables, les ulcères aphteux, les vertiges, l’asthénie, la perte de mémoire, les troubles neurologiques de la marche, les problèmes neuropsychiatriques, l’anémie, une vitesse de sédimentation globulaire (ESR) élevée, le lupus érythémateux systémique, la sclérose multiple, la sclérose latérale amyotrophique (SLA), le phénomène de Raynaud, le syndrome de Sjorgren, la diarrhée chronique.

Sylvie Van der Werf, chercheuse de l’Institut Pasteur, vient de rajouter une couche de catastrophisme chez les lecteurs du Figaro : « Tout laisse à penser que ce virus touchera l’ensemble de l’hémisphère Nord, et le nombre de malades potentiels pourra être très élevé ». Elle en déduit que « Nous allons être conduits à vacciner tout le monde, au nord comme au sud, dans les pays riches comme ceux en voie de développement. Et mon avis est que le plus vite sera le mieux, compte tenu de l’évolution actuelle ». Cependant, malgré sa frénésie de vacciner, elle devra attendre « quatre à six mois avant de disposer de vaccins ». Ce sera toujours ce temps de gagné pour les futures victimes.

Le CDC d’Atlanta et l’OMS ont décidé de supprimer les tests qui de toute façon ne permettent pas de déterminer scientifiquement qui est touché ou pas par le H1N1. Aussi, en supprimant le décompte des cas de grippe H1N1, ils se mettent à l’abri de toute discussion en présumant que « presque tous les cas sont des cas de grippe porcine H1N1 ». C’est sur ces bases « scientifiques » que nos gouvernements vont décider de vacciner ou non la population.

Le Tamiflu

Cet antiviral qui se vendait plutôt mal, suscite à présent l’envie du monde entier, qui veut se le procurer à tout prix.
Officiellement, les Laboratoires Roche sont les fabricants du Tamiflu®️, mais le médicament a été découvert par Gilead Sciences Inc, qui a cédé à Roche les droits de le fabriquer et de le vendre et dont Donald Rumsfeld, qui en fut Président de 1988 jusqu’en 2001, lorsqu’il devint ministre de la Défense, détient toujours plusieurs millions de dollars d’actions.

Au moment où tous les gouvernements stockent ainsi des antiviraux et des millions de doses de vaccins, deux études publiées par le Lancet viennent d’établir que ces traitements sont bien moins efficaces qu’on le croyait et confirment la progression de la résistance aux médicaments ou vaccins antigrippaux. Aussi, rien ne permet de prévoir la réelle efficacité du Tamiflu®️ en cas de pandémie.

Nombre de virologues ont manifesté leur inquiétude face aux phénomènes de résistance qui pourraient apparaître lorsque l’antiviral sera utilisé par des centaines de millions de gens. Ainsi, le 28 juillet 2009, dans un article paru dans le BMJ, plusieurs scientifiques du groupe Cochrane estimaient qu’il était temps d’étudier plus sérieusement le bénéfice du Tamiflu®️ par rapport à ses dangers. « À ce stade de l’épidémie, les gens devraient être prévenus de ne pas utiliser l’oseltamivir car la plupart courront tellement peu de risques par rapport au virus que n’importe quelle réaction neuropsychiatrique dépasserait de loin tout avantage, et que son usage à grande échelle hâterait le développement de la résistance du virus. »

En revanche, on connaît les risques qu’il engendre, car la FDA a reçu plus de 1 800 rapports d’effets indésirables dont la mort de 14 adolescents liés à des problèmes neuropsychiatriques et certains « troubles du comportement et des hallucinations », ainsi que des convulsions et des paralysies comme le Syndrome de Guillain-Barré.
Le Times et le Daily Telegraph du 31 juillet 2009 signalaient que la moitié des enfants traités au Tamiflu®️ souffrait de nausées, douleurs d’estomac, diarrhées, vomissements, et qu’au moins 18 % avaient des problèmes de sommeil, des cauchemars, et se sentaient incapables de se concentrer, d’avoir des pensées claires, ce qui pouvait être extrêmement gênant en périodes d’examens.

Comment ne pas admettre que les risques engendrés par cette substance pèsent très lourd dans la balance par rapport aux 0,03 % de décès attribués au virus. Toutefois, avant qu’elles ne soient périmées, il faudra bien utiliser les milliers de doses déjà stockées puisque « le vin étant tiré, il faut le boire ».


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MessageSujet: Re: NON, je ne me vaccinerai pas !   NON, je ne me vaccinerai pas ! EmptyLun 31 Aoû - 11:57

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MessageSujet: Re: NON, je ne me vaccinerai pas !   NON, je ne me vaccinerai pas ! EmptyLun 31 Aoû - 12:53

Aïe !

Bin , pour moi ce sera un bouillon de poule , un peu d'homéo et un gros dodo en cas de souci .
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MessageSujet: Re: NON, je ne me vaccinerai pas !   NON, je ne me vaccinerai pas ! EmptyLun 31 Aoû - 13:02

pareil, je ne suis pas pour les vaccins, quand on voit les degats que ca amene des années plus tard... ca fait peur!

moi ca sera des comprimés immuno aux plantes et pi si je l'attrape.. je l'attrape tant pis!
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MessageSujet: Re: NON, je ne me vaccinerai pas !   NON, je ne me vaccinerai pas ! EmptyLun 31 Aoû - 13:15

Pfiouuu de toute façon cette histoire de Grippe A ils en font des tonnes pour faire baliser les gens. C'est bien connu (-_-) ils nous font le coup à chaque fois, vache folle et j'en passe ! C'est comme ça qu'on dirige le mieux les hommes, en leur faisant peur.

Idem, hors de question qu'on m'injecte tout un tas de produits !
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MessageSujet: Re: NON, je ne me vaccinerai pas !   NON, je ne me vaccinerai pas ! EmptyLun 31 Aoû - 13:25

ils te balancent ça tous les jours à la gueule et pendant ce temps ils augmentent les taxes, c'est qu'un pitoyable rideau de fumée et pendant ce temps ils s'en fouttent plein les poches à faire acheter leurs produits de prévention de merde comme les masques...J'en parlais à ma mère qui est dans le milieu médical et c'est impossible de créer un vaccin fiable en aussi peu de temps, c'est en se vaccinant justement qu'on la choperait tous...mouarf...
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MessageSujet: Re: NON, je ne me vaccinerai pas !   NON, je ne me vaccinerai pas ! EmptyLun 31 Aoû - 13:28

Merci bourinette ! On est bien d'accord^^

L'opium du petit peuple (-_-) Et pendant ce temps, ils te font passer des lois bien craignos sans que personne s'en rende compte.
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MessageSujet: Re: NON, je ne me vaccinerai pas !   NON, je ne me vaccinerai pas ! EmptyLun 31 Aoû - 13:54

Misskaa a écrit:
L'opium du petit peuple (-_-) Et pendant ce temps, ils te font passer des lois bien craignos sans que personne s'en rende compte.

Ah ça tout les été c'est la meme histoires ...

Ils profitent que tout le monde soit pas la pour faire passer toutes leurs merdes...

Merci d'avoir pris un petit moment pour lire ce pavé, mais son contenu m'a paru pertinant ! wink
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MessageSujet: Re: NON, je ne me vaccinerai pas !   NON, je ne me vaccinerai pas ! EmptyLun 30 Nov - 12:35

Alors je vous propose un petit point pour se resituer suite aux données recentes lancées par le gouvernement :

aller une tite couche de plus :

Faut-il ou non se faire vacciner contre la grippe ?

Une page d’opinion de plus sur la vaccination antigrippale ? Non, une page d’information. Ce texte est la réponse à mes patients qui assiègent mon téléphone depuis quelques jours. Ces informations sont relayées par de nombreux médecins qui tentent d’éclairer leurs patients pour ce choix difficile.

Résumé : La question n’est finalement pas uniquement celle de la vaccination pandémique, mais bien celle de la vaccination annuelle contre la grippe. La réponse sur la question de la pertinence de la vaccination antigrippale doit être globale et personnelle.
Les risques liés à la maladie ou au vaccin chez le bien-portant sont tellement infimes qu’ils peuvent difficilement être comparés. Les négliger pour soi ou ses enfants ne constitue pas une perte de chance significative.


Se faire vacciner ou pas ?
La réponse n’est pas aussi simple qu’un oui ou un non ; prenez le temps de lire complètement cet article avant de forger votre opinion. Si vous ne souhaitez pas le lire, transmettez-le à une personne de confiance pour lui demander son avis. Vous pouvez bien sûr consulter votre médecin. Il fera le point avec vous et pourra répondre à vos questions. Il pourra même vous dire ce qu’il ferait à votre place, ce qui ne veut pas dire que l’avenir lui donnera raison. Chaque cas est particulier et il connait le vôtre, mais de grâce, évitez le téléphone, ne serait-ce que parce qu’il n’aura pas votre dossier sous les yeux quand il vous répondra. D’ailleurs, votre médecin figure peut-être dans la liste (voir en bas de l’article) de ceux qui reprennent ces informations à leur compte pour leurs patients.

Mais avant de parler du vaccin, il faut passer par un bref historique de la grippe et de ses virus, c’est indispensable pour comprendre.

Un bref historique pour bien comprendre le contexte
Le virus de la grippe n’est pas un virus stable, comme celui de la rougeole ou des oreillons. Il change (mute) légèrement tous les ans, c’est pourquoi les personnes souhaitant se vacciner contre la grippe doivent renouveler l’injection annuellement. Ce n’est pas un rappel, mais une revaccination : la composition du vaccin change tous les ans en fonction des mutations des virus. C’est aussi pourquoi nous ne tombons pas tous malades tous les hivers : après une grippe, nous sommes protégés pendant plusieurs années, tant que nos anticorps parviennent à neutraliser le virus qui n’a pas encore trop changé.

Une épidémie comme celle que nous vivons en 2009 apparaît quand la mutation d’un virus de la grippe est soudaine et importante. Nous ne sommes plus protégés par les anticorps que nous avons fabriqués lors d’une infection ancienne. Une grande partie de la population va contracter cette nouvelle grippe, généralement l’année de son apparition, parfois l’année suivante, parfois de façon inapparente, ce qui donne pendant deux ou trois ans une épidémie hivernale spectaculaire. La contamination est favorisée par l’inhalation d’air froid, c’est pour cela que les épidémies surviennent surtout l’hiver.

Le vaccin contre la grippe saisonnière est préparé près d’un an à l’avance en mélangeant les souches de virus en circulation. L’OMS et les industriels espèrent "viser juste" et obtenir un vaccin efficace pour l’hiver suivant. Ce n’est pas toujours le cas, la prévision étant un art difficile. Mais dans l’ensemble, l’efficacité du vaccin contre la grippe saisonnière est modeste : entre 25 et 60% selon les sources. Dans un rapport récent, elle est en France d’environ 60% chez les jeunes et de 40% chez les personnes âgées [1]. C’est à dire que la vaccination diminue environ par deux le risque de contracter la grippe. Les virus de la grippe A, utilisés pour fabriquer le vaccin saisonnier, proviennent de la souche H1N1 dérivée de la grippe espagnole de 1918 et de la souche H3N2 dérivée de la grippe de Hong Kong de 1968 ; le vaccin contient également une souche de grippe B, moins virulente, que nous laisserons de côté. Le virus A/H1N1 n’est donc pas un nouveau-venu dans le monde de la grippe car il dérive d’une souche ancienne déjà présente depuis plus de 30 ans dans le vaccin saisonnier.

En 2004, un nouveau virus A est apparu : le virus H5N1 d’origine aviaire (oiseau). Il avait deux caractéristiques : une dangerosité extrême avec plus de 30% de mortalité (contre 0,01% pour la grippe A saisonnière comme nous allons le voir) et heureusement une très faible contagiosité pour l’homme.
Par sécurité et à juste titre, une procédure grippe aviaire a été mise en place en 2005 dans de nombreux pays :
- stockage massif de masques, de gants, de médicaments antiviraux
- plan de production accéléré pour la fabrication de vaccins en cas de pandémie : démarches d’enregistrement raccourcies et surtout, ajout d’un adjuvant, le squalène. Ce produit huileux renforce la stimulation immunitaire et permet de produire beaucoup plus de doses de vaccin dans un temps réduit. Encore une fois, on agitait le spectre d’une grippe mortelle à 30% et ces compromis paraissaient acceptables pour gagner quelques semaines correspondant à des centaines de milliers de vies sauvées. Une grippe aviaire tuant un malade sur trois aurait été une catastrophe mondiale absolue autorisant des procédures d’exception.

En mars 2009, une épidémie de grippe A est apparue au Mexique, due à une mutation importante du virus A/H1N1. Mutation importante donc faible immunité générale de la population et épidémie massive.
Ce virus a touché surtout les jeunes, car les personnes plus âgées avaient déjà contracté d’autres grippes de la famille H1N1. Malgré la mutation importante ayant créé le nouveau virus, ces personnes de plus de 65 ans étaient immunisées partiellement contre le nouveau virus H1N1 du fait de sa parenté avec les anciens H1N1. Les épidémies de grippe récentes étaient surtout causées par un autre virus A : le virus H3N2.

Après un moment de panique, il est apparu au début de l’été que ce virus était certes très contagieux, mais finalement peu agressif. Pas plus que le virus H1N1 habituel. Ce qui était inhabituel en revanche, mais logique, c’était le nombre de personnes, jeunes notamment, touchées par la grippe.

En avril 2009, il était malheureusement trop tard pour intégrer ce nouveau virus dans le vaccin saisonnier dont la production était déjà lancée.

Trop tard pour intégrer ce virus dans le vaccin saisonnier

Certains gouvernements, français notamment, ont alors décidé dès le début de l’été d’appliquer à ce nouveau virus A/H1N1 la procédure d’urgence créée pour le "méchantissime" A/H5N1 aviaire. Malgré les nouvelles rassurantes de l’hémisphère sud, il était semble-t-il trop tard en août pour reculer et la campagne de vaccination massive par le vaccin dit "pandémique", c’est à dire contenant le nouveau virus H1N1, et "dopé" au squalène a été mise en place avec les remous que l’on sait.

Nous allons maintenant aborder un chose très importante et peu connue : l’alternative n’est pas de vous vacciner ou non cette année contre la nouvelle grippe A/H1N1, mais de savoir si vous voulez vous vacciner contre la grippe en général. En effet, la nouvelle grippe A/H1N1 ne diffère pas significativement par sa gravité de sa "mère" l’ancienne grippe A/H1N1 qui circule en Europe depuis 1918, et qui est intégrée dans le vaccin saisonnier. La seule différence est que les adultes jeunes sont dans leur grande majorité dépourvus d’anticorps contre cette nouvelle grippe A, car elle n’a pas beaucoup circulé récemment.
On croit souvent qu’il suffit de se vacciner contre cette nouvelle grippe A pour être tranquille pour longtemps. Il n’en est rien. Comme tous les virus grippaux, comme l’ancien A/H1N1, celui de la nouvelle grippe A/H1N1 va muter (on dit "glisser") progressivement et les personnes vaccinées souhaitant rester protégées contre la grippe A/H1N1 devront mettre à jour cette vaccination tous les ans jusqu’à la fin de leurs jours. Une vaccination ponctuelle en 2009 ne ferait que reculer leur contagion de quelques années. Les virus dérivés de la mutation progressive du virus de la nouvelle grippe H1N1 pourront être plus dangereux, ou au contraire plus bénins que leur "père". En pratique, ces mutations limitées et progressives qui ont déjà commencé changent rarement la dangerosité du virus initial de manière significative, contrairement aux mutations importantes et brutales qui caractérisent les grandes pandémies. Nous n’avons, au 28 novembre, aucune preuve de la naissance d’un mutant plus virulent qui changerait la réflexion sur la vaccination. Le principal impact de ces mutations minimes concernent la sensibilité au vaccin ou aux antiviraux qu’elles ont tendance à diminuer.

Dès l’année prochaine, le nouveau virus H1N1 mexicain sera intégré dans le vaccin saisonnier comme l’est déjà son parent H1N1 espagnol et son cousin H3N2 asiatique. Une personne souhaitant se protéger de la grippe A se vaccinera obligatoirement tous les ans. Il y aura donc un vaccin "2 en 1" (ou plutôt 4 en 1 : ancien A/H1N1, nouveau A/H1N1, A/H3N2, B).

Le choix est donc le suivant, il n’y en pas d’autre :
- Je me vaccine cette année puis tous les ans contre la grippe car je ne veux pas prendre de risque vis-à-vis de cette maladie.
- Je suis prêt à prendre le risque d’attraper la grippe (tous les 15 ans en moyenne) avec les risques qui vont avec et je ne me vaccine jamais contre cette maladie.


A ce choix personnel peut s’ajouter le souhait altruiste de ne pas contaminer les autres et de participer à l’étalement de l’épidémie dans le temps (en l’absence de vaccination massive et annuelle de la population, ils seront de toute façon contaminés un jour ou l’autre).

Les arguments personnels et altruistes en faveur du vaccin doivent être tempérés par la faible efficacité du vaccin : 25 à 60% suivant les sources. Le vaccin diminue la probabilité de contagion mais ne l’annule pas. Le vaccin ne permet pas d’annuler les risques liés à la grippe, mais de les diminuer.

Le fait que la question soit souvent mal posée explique pourquoi il y a tant de divergences dans les avis et recommandations. Le problème n’est pas lié à cette nouvelle vaccination (en dehors des questionnements sur ses excipients que nous aborderons plus loin) mais au principe même de la vaccination régulière contre la grippe.

La question qui vient ensuite est logiquement : "Quels sont les risques de la grippe ?"
Les risques liés à la grippe sont connus. Ce qui ne l’est pas avec précision, c’est leur fréquence.

ll y a tout d’abord le risque d’être cloué au lit pendant plusieurs jours avec fièvre, toux, courbatures et maux de tête. L’épuisement se poursuit par une fatigue importante pendant une semaine après la guérison. En moyenne, on fait une grippe de ce type tous les 15 ans. Certaines personnes ne "font jamais la grippe". Cela veut sans doute dire que chez elles, les symptômes sont très atténués au point qu’elles ne les remarquent pas (les études scientifiques évaluent à 30% le nombre de grippes qui ne donnent pas ou peu de symptômes [2]). D’autres sont plus sensibles et vont être atteints plus souvent. Ce chiffre d’une grippe A tous les 15 ans est une moyenne.

Il y a également le risque indirect de transmettre cette maladie à des proches ou à des personnes fragiles que l’on côtoie.

Il y a ensuite les complications, dont la fréquence n’est pas connue avec précision :

1) La pneumonie bactérienne est la principale complication de la grippe en terme de fréquence. Elle touche plus souvent des personnes qui ont une maladie préexistante (diabète, sida,bronchite chronique...) mais aussi celles qui oublient que le repos est indispensable pendant une grippe... Personne ne connaît le pourcentage de grippés qui contractent une pneumonie, le chiffre se situe probablement entre 1/10 et 1/100 des grippés [3]. Cette pneumonie se guérit très bien avec des antibiotiques courants mais peut emporter une personne très fragile : vieillard, insuffisant respiratoire, grand cardiaque ou autre porteur d’une maladie grave.

2) Le Syndrome de Détresse Respiratoire Aigu Sévère (SDRAS) est une complication rare, grave et particulière de la grippe. Il s’agit d’une pneumonie qui n’est pas due à une bactérie, mais au virus lui-même. Cette complication peut toucher n’importe qui, jeune, vieux, sujet en bonne santé le plus souvent. Elle est très rare, touchant probablement entre 1/100.000 et 1/1.000.000 des grippés. Elle est mortelle dans un nombre de cas compris entre 1/10 et 1/2 selon la gravité initiale, on parle alors de mortalité directe de la grippe. En cas de guérison, des séquelles pulmonaires graves peuvent persister. Le SDRAS porte parfois le nom de grippe fulminante ou de grippe maligne.

3) Les complications neurologiques : essentiellement le syndrome de Guillain Barré. Celui-ci est de gravité variable et guérit le plus souvent tout seul et sans séquelles. Les troubles vont d’un simple fourmillement passager à une rarissime paralysie définitive. Il n’est pas spécifique de la grippe et peut être déclenché par de nombreux facteurs, y compris la vaccination. La grippe peut aussi provoquer des encéphalites, rarissimes elles aussi. La fréquence des atteintes neurologiques graves (non réversibles) est tellement basse qu’elle est inconnue, probablement entre 1/100.000 et 1/1000.000 des grippés. Il est très difficile d’apprécier ce qui est réellement dû à la grippe.

4) Le décès est bien sûr une complication à part entière, quelle qu’en soit la cause. C’est une des données les moins mal connues car le décès est un élément qui est toujours déclaré, documenté, et qui peut faire l’objet d’enquêtes. Pour autant, aussi incroyable que cela puisse paraître, personne ne connaît le nombre exact de décès dus à la grippe en France. Un bilan institutionnel sur la saison 2004-2005 (rapport INVS déjà cité) apporte néanmoins des données intéressantes : nous n’avons pas le chiffre absolu de décès, mais au moins pouvons nous connaître le rapport entre les décès et les cas de grippe estimé par un réseau de surveillance fiable.

NON, je ne me vaccinerai pas ! Flumortalite2004-51401

Fig 1 Comparaison de la mortalité grippale et du nombre de cas de grippes lors de l’épidémie 2004-2005, permettant d’évaluer la mortalité globale à environ 1/10.000 source INVS. Attention, il ne s’agit pas de la mortalité totale mais de celle de 22 départements pilotes.

Ce rapport est de l’ordre de 1/10.000 (fig 1). Il rejoint les chiffres constatés en Nouvelle-Zélande [4] pendant l’épidémie hivernale due au nouveau virus. L’analyse détaillée de ces décès en France sur un échantillon de 22 départements montre qu’il s’agit essentiellement de personnes très âgées (fig 2).

NON, je ne me vaccinerai pas ! Flumortaliteparage2004-237d7
Fig 2 : Age des patients décédés de la grippe lors de la surveillance de la grippe 2004-2005 sur 22 départements.


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MessageSujet: Re: NON, je ne me vaccinerai pas !   NON, je ne me vaccinerai pas ! EmptyLun 30 Nov - 12:35

Le décès des personnes jeunes grippées est plutôt dans la fourchette 1/100.000 à 1/1000.000 et est souvent associé à une maladie préexistante. Cela correspond aux constatations faites par les médecins généralistes : rares sont ceux qui ont été confrontés à un décès par grippe chez une personne jeune et en bonne santé pendant l’ensemble de leur carrière. Du fait du nombre de grippés qui développent peu ou pas de symptômes et qui ne sont pas comptabilisés, on peut estimer que le taux de décès chez les personnes bien portantes atteintes par une grippe symptomatique ou non est de l’ordre de 1/500.000. Les chiffres récents de mortalité, provenant de pays où l’épidémie est importante (USA), sont compatibles avec cette estimation. Néanmoins, les données des épidémies précédentes concernent le virus H3N2, majoritaire ces dernières années. Il devient probable au fil du temps que la mortalité chez le sujet jeune est supérieure avec le virus H1N1 ; cette caractéristique est suggérée par l’expérience actuelle des réanimateurs confrontés à un nombre inhabituel de sujets jeunes avec une atteinte respiratoire sévère. Il faut donc considérer un fourchette plus large pour la mortalité qui pourrait atteindre dans le pire des cas 1/100.000 chez l’enfant et l’adulte en bonne santé.

Néanmoins, dans la mesure ou cette grippe touche peut-être dix fois plus de jeunes que les autres années (car ils ne sont pas immunisés), il est normal et attendu que les cas graves et les décès chez les jeunes soient dix fois plus nombreux. Cela ne veut pas dire que le nouveau virus H1N1 est forcément plus agressif que l’ancien H1N1. Nous avons des chiffres américains qui montrent une surmortalité inférieure à un facteur 5 pour les enfants par rapport aux autres années, sachant que c’est le virus H3N2 qui sévissait majoritairement.

En pratique, la probabilité de mourir de la grippe ou de garder des séquelles pulmonaires ou neurologiques graves pour un enfant de plus de un an ou un adulte de moins de 65 ans et en bonne santé est sans doute comprise entre 1/100.000 et 1/500.000. Personne ne pourra être plus précis avant longtemps et il est peu probable que la réalité soit en dehors de cette fourchette.

Globalement chez les personnes en bonne santé, la grippe expose à un risque fort d’incapacité transitoire et de toux pénible, un risque faible de complication réversible, et un risque infime de décès.


Le risque de décès par la grippe pour un enfant ou un adulte bien portant est par exemple inférieur à celui consistant à circuler à vélo en ville, très inférieur à celui de rouler à moto. Il est d’un ordre de grandeur comparable à celui auquel vous expose un long voyage en voiture. Pour prendre une autre comparaison : vous avez moins de chance de mourir de la grippe cette année que de gagner les 6 numéros du loto en jouant une grille à 12 euros une fois par semaine.

Pour les personnes présentant une maladie ou un état (grossesse, premiers mois du nourrisson) favorisant les complications, seule une consultation personnalisée permet d’estimer un éventuel sur-risque avec sécurité. Néanmoins l’excès de risque est souvent surestimé par le public. Par exemple, la femme enceinte présente un excès de risque de décès qui ne dépasse par un facteur 5 d’après les études disponibles. Une femme enceinte en bonne santé qui contracte la grippe a donc environ 49.999 chances sur 50.000 de ne pas mourir.

Il est dommage qu’en déconnectant la vaccination du médecin de famille ou du pédiatre, la campagne vaccinale ait rendu plus difficile le contact et le dialogue pour les patients à risque.

En dehors de l’isolement total, le seul moyen de se protéger partiellement mais durablement de la grippe avec une efficacité prouvée scientifiquement est la vaccination. D’autres méthodes existent mais les preuves de leur efficacité sont mal établies. Cela ne veut pas dire qu’elles ne sont pas efficaces mais que cette efficacité n’est pas démontrée par les méthodes scientifiques couramment admises.

Quels sont les risques de la vaccination antigrippale ?

Les vaccins antigrippaux traditionnels (saisonniers) contiennent de l’eau, des sels minéraux anodins et des virus grippaux tués ou fragmentés. Cette eau peut contenir des résidus du milieu de culture des virus grippaux et notamment des antibiotiques, du formaldéhyde et des protéines de poulet. Ces résidus sont présents en quantité infimes et ne posent de problème qu’en cas d’allergie. Vendus en pharmacie en seringue unidose, les vaccins saisonniers ne contiennent habituellement pas d’adjuvant métalliques ni de conservateur (squalène, aluminium, mercure), sauf le Gripguard®️ qui contient du squalène. Ces vaccins ne contiennent pas non plus de virus vivant. Il est difficile de connaître cette composition précise car elle ne figure pas clairement sur la notice des vaccins.

Du fait d’une procédure de recueil des effets indésirables déficiente [5], les effets secondaires de ces vaccins ne sont pas parfaitement connus et sont souvent sous-estimés pour les plus bénins d’entre eux (douleurs, courbatures, fièvre). Les accidents graves sont tellement rares qu’il est impossible de les quantifier, même approximativement [6].

Voici l’information officielle française (Agence du médicament) sur les effets indésirables du vaccin saisonnier sans conservateur ni adjuvant :
Citation :
Événements indésirables observés au cours des essais cliniques
La tolérance des vaccins grippaux trivalents inactivés est évaluée au cours d’études réalisées annuellement en conformité avec les exigences réglementaires, et incluant au moins 50 adultes âgés de 18 à 60 ans et au moins 50 personnes âgées de 61 ans et plus. L’évaluation de la tolérance est réalisée durant les 3 premiers jours suivant la vaccination.
Affections du système nerveux :
- Entre 1% et 10% des patients : maux de tête.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
- Entre 1% et 10% des patients : sueurs*.
Affections musculosquelettiques et systémiques :
- Entre 1% et 10% des patients : douleurs musculaires, douleurs articulaires*.
Troubles généraux et anomalies au site d’administration :
Entre 1% et 10% des patients : fièvre, malaise, frissons, fatigue. Réactions locales : rougeur, gonflement, douleur, ecchymose, induration*.
* Ces réactions disparaissent généralement après 1 ou 2 jours sans traitement.

Événements indésirables rapportés au cours de la surveillance après commercialisation
Les événements indésirables rapportés au cours de la surveillance après commercialisation, en plus de ceux déjà observés au cours des essais cliniques, sont les suivants :

- Affections hématologiques et du système lymphatique : baisse des plaquettes transitoire, ganglions.
- Affections du système immunitaire : réactions allergiques, conduisant à un malaise grave dans de rares cas, oedème de Quincke.
- Affections du système nerveux : névralgie, fourmillements, convulsions fébriles, troubles neurologiques, tels que encéphalomyélite, névrite et syndrome de Guillain-Barré.
- Affections vasculaires : inflammation des artères avec atteinte rénale transitoire dans de très rares cas.
- Affections de la peau et du tissu sous-cutané : réactions cutanées généralisées incluant démangeaisons, urticaire, éruption de boutons.

En pratique, la lecture d’une telle liste a un effet repoussant, mais globalement, les accidents graves avec le vaccin grippal saisonnier sont exceptionnels alors que les inconvénients bénins sont fréquents. Il est très difficile d’apprécier ce qui est réellement dû au vaccin.

La réflexion sur le vaccin saisonnier est importante, car comme nous l’avons déjà vu, la seule question est de savoir si l’on va démarrer à vie une vaccination annuelle contre la grippe, et non de savoir si l’on va seulement faire le vaccin pandémique transitoire contre la nouvelle grippe A. Seule exception : les femmes enceintes et les nourrissons pour lesquels une vaccination ponctuelle est envisageable ; ces deux populations bénéficient d’un vaccin sans adjuvant au squalène.

Nous n’avons aucune information sur les risques associés à l’injection annuelle du vaccin antigrippal saisonnier pendant une vie entière. Rien ne permet d’affirmer ni d’exclure que ces injections répétées soient anodines.

Contracter la grippe assure une immunité bien plus forte que celle apportée par le vaccin. Il ne peut être affirmé ni exclu que cette meilleure immunité naturelle constituera un avantage en cas d’épidémie future par un virus agressif dérivé du virus A/H1N1 2009.

Il y a un effet altruiste dans la vaccination : elle diminue la probabilité de transmettre le virus et participe à la réduction de l’intensité de l’épidémie.

Pour une personne bien portante, il faut donc mettre en balance le risque d’une grippe tous les 15 ans (et ses éventuelles complications) avec les risques associés à un vaccin annuel, sachant que l’efficacité du vaccin est habituellement de 50% (il diminue par deux la probabilité de contracter la grippe, mais ne protège pas à 100% comme d’autres vaccins.)

Il est clair qu’en terme de mortalité par exemple, le risque lié au vaccin est très nettement inférieur à celui lié à la grippe. Néanmoins, sur 15 ans cela se joue à quelques points par million. Lorsque l’on atteint des niveaux de risque aussi bas à titre individuel, il est légitime de s’interroger sur l’intérêt de la recherche du "risque zéro". Nous nous exposons quotidiennement à des risques beaucoup plus importants.

La vaccination saisonnière annuelle chez le bien-portant est donc un choix personnel. Il n’y a pas de règle car il n’y a pas de conduite évidente. Chacun en fonction de son acceptation ou non d’un risque infime dans un sens ou dans l’autre fera son choix pour lui ou ses enfants. Le seul argument collectif pour l’incitation à la vaccination serait d’étaler dans la durée les cas de grippe grave afin d’éviter la surcharge des services de réanimation. Une telle justification aurait peut-être été mieux entendue par le public.

Que penser du vaccin pandémique et de ses adjuvants ?

En Europe, un élément perturbe le débat sur les questions précédentes : la composition du vaccin pandémique utilisé pour la campagne de vaccination de masse 2009. Comme nous l’avons vu, il a été fabriqué en suivant un protocole industriel et administratif accéléré destiné à la grippe H5N1 dite grippe aviaire. C’est à dire une situation d’urgence majeure face à un virus dont la mortalité aurait été de 30% (et non de 0,01%). Le vaccin a été "dopé" avec un corps gras, le squalène pour accélérer sa fabrication. On sait que ce squalène favorise aussi les réactions locales douloureuses et les réactions générales comme la fièvre ou les courbatures. En revanche, aucun accident grave ne lui a été imputé avec certitude. Un doute persiste sur son effet déclenchant pour des maladies auto-immunes. Malgré un recul assez important sur son emploi, les données sont peu probantes car il a été essentiellement administré à des personnes âgées en institution. On commence à disposer de données canadiennes qui montrent une fréquence d’accidents graves (dont des décès) de 1/250.000 vaccinés par un vaccin au squalène proche du PANDEMRIX.

Au USA, le vaccin pandémique ne contient pas de squalène. Il est identique, à la souche virale près, au vaccin saisonnier.

En France, les flacons multidoses utilisés pour la vaccination pandémique de masse contiennent un conservateur dérivé du mercure, le thiomersal. Nous ne savons pas actuellement si ce produit peut poser des problèmes. Si c’est le cas, ils sont suffisamment rares pour ne pas avoir été mis en évidence dans les études réalisées par le passé. L’agence du médicament française avait néanmoins recommandé en 2000 de ne plus l’utiliser http://www.afssaps.fr/Infos-de-secu... mais encore une fois, ce vaccin a été fabriqué dans le cadre d’une procédure d’urgence "Grippe aviaire H5N1" dont la forte mortalité rendait secondaire les considérations sur les conservateurs. Cette procédure paraît a posteriori injustifiée pour le virus H1N1, mais il est toujours plus facile d’avoir raison a posteriori.

Ces adjuvants et conservateurs sont actuellement considérés comme sûrs par les autorités sanitaires, mais pas par les fabricants qui ont demandé contractuellement à être libérés de leur responsabilité en cas de problème. Il serait plus cohérent pour convaincre le public que les fabricants renoncent à cette clause de protection et partagent ainsi leur confiance dans leur produit.

Le squalène, responsable d’un plus grand nombre d’effets indésirables modérés, faciliterait en revanche une immunité plus solide, notamment contre les premiers virus mutants qui commencent à apparaître et qui ne sont que faiblement différents du A/H1N1 2009 initial. Cet "élargissement" de l’immunité avec les vaccins adjuvés au squalène est plausible mais demande à être confirmée.

Ces inconnues ne facilitent pas le choix de ceux qui penchent pour la vaccination. Il pourrait leur paraitre tentant d’attendre vaccin sans adjuvant, mais c’est maintenant que le risque de contamination est le plus élevé.

Un élément ne penche pas en faveur du vaccin pandémique : la pandémie est bien lancée en France, et il n’est pas habituellement recommandé de se vacciner en plein pic épidémique car l’immunité met au moins 15 jours à s’installer. Il est probablement bien tard pour se vacciner actuellement. La survenue d’un deuxième pic début 2010, un moment envisagé, devient improbable depuis quelques jours : nous sommes déjà dans le deuxième pic, le premier étant survenu en septembre. Se vacciner actuellement peut être un pari sur un risque de contamination à plus de 15 jours.

Enfin, il faut préciser que la vaccination d’un sujet ayant déjà contracté la nouvelle grippe H1N1 sans s’en rendre compte n’expose à aucun risque connu.

NON, je ne me vaccinerai pas ! Flufrance-2-2dc4f
NON, je ne me vaccinerai pas ! Flusa-6cf2f
NON, je ne me vaccinerai pas ! Flucanada-2-b1e9d
Copies d’écran de Google Flutrends réalisées le 27 novembre 2009. Notez l’intensité très variable des épidémies par rapport à celles des années précédentes en fonction des pays. La France est en plein pic épidémique.

Que concluez vous ?
Mais rien bien sûr. Il n’y a que vous qui pouvez conclure, en fonction de vos objectifs personnels, de votre acceptation du risque lié à la grippe ou de celui lié au vaccin. Vous avez ci-dessus les éléments qui vous permettent de prendre une décision pour vous ou vos proches. Elle sera toujours personnelle et unique. Sachez que, quelle que soit votre décision, la probabilité que vous soyez confronté à des conséquences graves liées à un mauvais choix est infime.

Et si le doute vous hante encore, allez voir votre médecin pour en discuter, mais sachez qu’il ne pourra décider à votre place. Encore une fois c’est à vous de prendre cette décision.

Conflits d’intérêts de l’auteur : je n’ai aucun lien l’intérêt personnel et n’ai jamais touché de rémunération de l’industrie des vaccins. Mon épouse travaille chez Sanofi mais hors vaccins. Notez que cette déclaration, obligatoire, est rarement faite par les médecins experts qui s’expriment sur les vaccins contre la grippe.

Liens utiles reflétant des opinions variées et parfois contradictoires :

Grippe Wikipedia => http://fr.wikipedia.org/wiki/Grippe
Vaccination contre la grippe 2009, Wikipedia => http://fr.wikipedia.org/wiki/Vaccin_contre_la_grippe_A_%28H1N1%29_de_2009
Flutrackers : toute l’information disponible. => http://www.flutrackers.com/forum/forumdisplay.php?f=1521
Suivi de l’épidémie sur Google Flutrends. => http://www.google.org/flutrends/intl/fr/fr/
Suivi de l’épidémie par le réseau GROG. => http://www.grog.org/cgi-files/db.cgi?action=bulletin_grog
En attendant H5N1, par Christian Lehmann => http://enattendanth5n1.20minutes-blogs.fr/
Le blog d’Antoine Flahault et Jean-Yves Nau sur Slate (manque la déclaration de conflits d’intérêts) => http://blog.slate.fr/h1n1/
Le dossier de la Revue Prescrire => http://www.prescrire.org/aLaUne/dossierGrippeA15oct.php
La déclaration de la Ministre de la santé de la Pologne, qui est médecin. => http://www.terrefuture.fr/la-pologne-face-a-la-vaccination-contre-la-grippe-ah1n1-485

Notes

[1] Rapport de l’INVS : Surveillance épidémiologique de la grippe en France : renforcement des systèmes de surveillance - Bilan de la saison 2004-2005 page 5 http://www.invs.sante.fr/publications/2005/grippe_2004_2005/grippe2004_2005.pdf

[2] Des résultats anglais récents montrent que la nouvelle grippe A/H1N1 est caractérisée par un grand nombre de formes d’infection sans symptômes : au moins la moitié des personnes touchées par le virus. Elle serait donc à la fois plus souvent bénigne et plus souvent très grave que la grippe H3N2.

[3] Fourchette large issue de l’expérience des médecins de ville

[4] Cité par l’article de la Revue Prescrire, source indépendante et fiable. http://www.prescrire.org/aLaUne/dossierGrippeAmodere.php

[5] La lourdeur de la procédure de déclaration des effets indésirables en France conduit à une sous-déclaration importante par les médecins, surtout pour les effets indésirables de gravité faible ou modérée. ll est prévu une procédure plus satisfaisante pour le vaccin pandémique avec une possibilité de déclaration par les patients eux-mêmes. Mais en pratique, seuls les effets indésirables graves sont pris en compte. http://www.i-med.fr/spip.php?article356
http://www.afssaps.fr/var/afssaps_site/storage/original/application/21329efc0831d1e825a3acf3f5a1e9dd.pdf

[6] Lorsqu’un accident est très rare, que ce soit pour la grippe ou pour le vaccin d’ailleurs, il est très difficile de savoir l’accident observé est arrivé à cause de la grippe ou du vaccin, ou du fait du seul hasard, voir ici.
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MessageSujet: Re: NON, je ne me vaccinerai pas !   NON, je ne me vaccinerai pas ! EmptyLun 30 Nov - 12:40

Désolée pour le pavé !! mais personnellement je me sentais un peu perdue dans la "désinformation" dont nous sommes victimes sur cette satanée grippe (que j'ai en plus surrement eu !! )
Donc je vous transmets le fruit de mes recherches ^^
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MessageSujet: Re: NON, je ne me vaccinerai pas !   NON, je ne me vaccinerai pas ! EmptyLun 30 Nov - 20:19

wouyep merci Ragga mais ,de toute facon ils peuvent se les garder leur aiguille de M**** quand tu voi le temp kil ont mis a sortir le vaccin le monde serai deja tous contaminer alors ,est ce ke ca sert a qqlque de se faire vacciner. Non je croi pas faut juste ke le temp passe jusqu a la prochaine . Apres kes kil vont nous faire ?
La grande kestion a se poser jusqu'a l'hiver prochain Kel grippe va faire son apparition???
CELLE DES OISEAU kil vont appeles Grippe oisine. mdr
Faut arretert les conneries
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