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 Pétition Gaz de schiste

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Ragga
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MessageSujet: Pétition Gaz de schiste    Pétition Gaz de schiste  EmptyVen 28 Jan - 18:30

Il est prévu qu'une entreprise de pétrochimie (Total pour pas la nommée) s'installe dans le nord de notre beau département (hérault hein ^^) pour exploiter le gaz de shiste.

Le secteur concerné est celui ci :
http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/france_tm_07_2010.pdf


Mais savez vous comment ce gaz est exploité et quelles en sont les conséquences pour l'environnement?

pour info je vous mets ce tres bon article d'un journal local de Montpellier :


Citation :


Risques considérables pour l’eau, l’air, la santé des populations et les paysages. Et donc risque de révolte populaire. On n’a pas fini de parler de cette nouvelle ressource énergétique qui pourrait être présente dans le sous-sol de l’Hérault, de l’Aude, du Gard, du Larzac, de la Drôme, de la Provence, etc. La société Total et le ministère de l’écologie se veulent rassurants. José Bové et d’autres ne sont pas du tout convaincus. La résistance s’organise avec notamment la signature d’une pétition qui a recueilli près de 3000 signatures en trois jours pour demander un débat public et un moratoire.

En jaune les permis d'exploration accordés (source : Bureau d'exploration-production des hydrocarbures)


Gaz de schiste («shale gas» en anglais), quésaco ? Si on dispose de 1h40, on peut regarder le documentaire Gasland (je vous le conseille !! )qui présente les dégâts causés par l’exploitation du Gaz de schiste aux États-unis. Mais attention ! Si vous commencez, vous risquez d’aller jusqu’au bout tellement le film de Josh Fox, primé au festival de Sundance, est saisissant. Pensez à faire un don si vous n’achetez pas le DVD. Si vous avez moins de temps ou si vous voulez en savoir sur ce qui se passe dans la région, continuez la lecture.


À plus de 2000 m sous terre
Le gaz de schiste n’est pas comme le gaz conventionnel. Pour l’exploiter, il ne suffit pas de forer à la verticale jusqu’à une poche. Il est emprisonné à plus de 2000 m sous terre dans du schiste. Des entreprises états-uniennes ont mis au point un procédé dit de «fracturation hydraulique» permettant d’exploiter ces gisements dont les réserves mondiales seraient colossales et donc très convoitées.

L'application pédagogique d'Owni sur la fracturation hydraulique

Problème, ce procédé nécessite d’énormes quantités d’eau (plusieurs milliers de m3 par fracturation soit plusieurs centaines de camions) injectée sous forte pression au niveau du schiste. Selon le site Owni, un puits pourrait être fracturé jusqu’à 14 fois. Du sable et de nombreux produits chimiques sont aussi ajoutés à l’eau dont une partie reste au fond du puits. L’autre partie est pompée au début de l’exploitation et doit ensuite être retraitée.
D’où les problèmes rencontrés aux États-unis et montrés dans le film Gasland. Comme la scène hallucinante de l’eau du robinet qui s’enflamme car le gaz semble être passé dans l’aquifère puis dans le puits de la maison (vers 8’30″) :



Il y a aussi de l’eau et des rivières polluées par le gaz et les produits chimiques ajoutés pour la fracturation, des norias de camions pour acheminer la logistique et l’eau, des hommes et des animaux malades, de l’eau livrée par des camions aux riverains pour remplacer l’eau du robinet devenue inutilisable. Le nombre de camions est d’autant plus sensible qu’il faut un grand nombre de puits pour exploiter un champ, de 10 à 15 au km2 selon Roland Vially de l’Institut français du pétrole ( Co2 mon amour, France Inter, 8/01). Voir aussi la carte du comté de Garefiel aux États-Unis cité par Owni où chacun des points blancs est un puits. Josh Fox a réalisé le décompte du nombre de camions nécessaires pour un seul puits du début à la fracturation. Il est arrivé à un total de 1150. Regarder l’extrait (vers 4’30″) :




La question des produits chimiques utilisés est sensible. La fin du film Gasland montre un échange peu cordial, en juin 2009, entre un représentant de Chesapeake energy (Mike John) et une élue démocrate du Colorado (Diana DeGette) sur le refus de Chesapeake de déclarer, dans la loi pour une eau potable de qualité (Safe drinking water act), la liste des produits utilisés. Notons au passage que Total vient d’annoncer la signature d’un accord en vue de la création d’une joint venture avec Chesapeake. Autre question sensible : que faire de l’eau pompée ? Une chose est sûre, les stations d’épuration domestiques ne sont pas conçues pour. Regarder l’extrait (vers 6′) :


La zone de Montélimar englobe notamment le karst du Lez,le réservoir d’eau de Montpellier
Une zone de près de 10 000 km2

Des questions auxquelles pourraient avoir à répondre les entreprises qui ont obtenu un permis de recherche pour différentes zones en france. Comme celles au nord de Montpellier appelées Nant, Montélimar, Villeneuve de Berg, Nîmes, Plaine d’Alès, Bassin d’Alès et à l’ouest, Plaines du Languedoc [les liens renvoient aussi vers des cartes].
Les zones les plus étendues sont les trois premières pour un total de près de 10 000 km2. Il y a aussi les Plaines du Languedoc dont le permis a été obtenu en octobre 2009 et pour laquelle son détenteur, l’entreprise Lundin affirme chercher du pétrole plutôt que du gaz même si Alain Buisson, son directeur exploration affirme à Montpellier journal ne rien exclure. Les permis délivrés précisent simplement «hydrocarbures liquides ou gazeux». Tout est donc possible. Si le sol le veut. Les deux principales entreprises détentrices de permis sont le français Total et le texan Schuepbach. Soulignons enfin que la zone de Montélimar englobe notamment le karst du Lez, le réservoir d’eau de Montpellier.

On en est encore au début de la phase d’exploration s’empresse-t-on de souligner chez Total et au ministère de l’écologie – qui a perdu la compétence énergie lors du remaniement de l’automne. Et puis la France n’est pas le Far-west ni même les États-unis d’aujourd’hui. Il y a déjà une différence fondamentale entre les deux pays : là-bas, le propriétaire d’un terrain est aussi propriétaire du sous-sol. En France, c’est l’État qui est propriétaire. D’où la délivrance de permis et donc, probablement, plus de contrôles.


«Premier forage probablement pas pour cette année»
Où en est-on aujourd’hui ? Chez Total on affirme en être encore à la phase d’étude en laboratoire de carottages effectués il y a 30 ans. Puis viendra le temps du travail sur le terrain où les géologues se rendront sur place pour faire des «études d’affleurements de surface». Par la suite, «on peut envisager un premier forage d’exploration mais ce ne sera pas tout de suite et probablement même pas pour cette année, déclare-t-on au service de presse de Total. C’est important de rappeler que, quand on parle d’exploration, on est dans une industrie de long terme. On ne va pas voir demain arriver de multiples puits pour de la production.»

«Il n’est pas du tout impossible qu’on recoure à de la fracturation des roches»
(Total à propos des forages d’exploration)



Et ensuite ?
«Vient la phase du forage. Le programme de travail sur lequel on s’engage sur ce permis [Montélimar], c’est un maximum de trois forages d’exploration durant les 5 ans [durée de validité du permis]. Ensuite c’est une validation technique.» À des citoyens qui s’étaient inquiétés des problèmes environnementaux potentiels, le cabinet de la ministre de l’écologie avait répondu par mail (1) : «Les forages à réaliser sont des puits de reconnaissance faisant appel à des techniques classiques.» Cette information est démentie par Total – au temps pour la crédibilité future du cabinet de la ministre Nathalie Kosciusko-Morizet – qui déclare à Montpellier journal : «Aujourd’hui on ne sait pas comment on va forer mais il n’est pas du tout impossible qu’on recoure à de la fracturation des roches pour valider les différentes hypothèses.»

Il faut aussi préciser que si on se base sur les engagements financiers indiqués sur les permis qui donnent une indication sur l’ampleur de l’exploration prévue sur la zone, ce serait les zones de Montélimar et Villeuneuve-de-Berg qui seraient les plus prometteuses avec respectivement 37,8 M€ et 39,93 M€. Pour toutes les autres, y compris celle de Nant qui couvre le Larzac, on est dans des engagements beaucoup plus faibles (moins de 4 M€).


«Nouvelle folie industrielle»
En tout cas, si Total ou d’autres creusent, ces forages pourraient être aussi l’occasion, pour les citoyens qui demandent des comptes, de roder leur contestation. À moins qu’on n’en arrive pas là. Car une pétition vient d’être lancée pour exiger «un débat public avec la société civile, les élus locaux et nationaux, pour dresser un inventaire complet des conséquences environnementales, sanitaires, économiques et sociales de cette «nouvelle folie industrielle».» Et de demander : «Un gel immédiat des prospections et la suspension des permis de recherche de gaz et pétrole de schiste sur l’ensemble du territoire français.» Un peu comme celui décidé par l’état de New-York pour éviter toute «contamination potentiellement dangereuse de la fourniture en eau de l’état».

Cap 21, Europe écologie Les verts, le Parti de gauche demandent la même chose que la pétition. Le NPA et le PC semblent n’avoir pris que des positions locales. Sollicitée pour connaître sa position, l’UMP n’a, quant à elle, pas rappelé Montpellier journal. Au PS, Laurence Rossignol, secrétaire nationale en charge de l’environnement nous dit que son parti «est en train de travailler dessus» et d’ajouter : «Ma position c’est que c’est une source d’énergie dont les conditions d’extraction sont telles qu’il faut être extrêmement réservé et prudent avant de considérer qu’on a trouvé là l’alternative à nos problèmes d’émission de gaz à effet de serre et de diversification de nos sources d’énergie.» Et sur le débat public et le moratoire, quelle position du PS ? «Débat public, oui, ça me paraît nécessaire. Et le moratoire est ce qui correspond le mieux à la mise en oeuvre du principe de précaution.» À suivre, donc. Au conseil régional du Languedoc-Roussillon, Yves Pietrasanta, vice-président en charge… de l’environnement n’a pas rappelé Montpellier journal.



Du côté des députés, ce n’est pas la grande agitation
José Bové, député européen (Europe écologie) de la région, en pointe dans le mouvement de contestation, fait partie de ceux qui demandent aux maires de prendre des arrêtés municipaux pour interdire les forages. Du côté des députés, en revanche, ce n’est pas la grande agitation. Montpellier journal en a contacté plusieurs de la région. André Vezinhet (PS), par ailleurs président du conseil général de l’Hérault et Jacques Domergue (UMP) n’ont pas donné suite au message de Montpellier journal. Jean-Pierre Grand (UMP), Kleber Mesquida (PS), n’avaient jamais entendu parler des gaz de schiste. William Dumas (PS, Gard) en a entendu parler par la presse mais «n’a pas plus de précisions» à nous donner. Robert Lecou (UMP) a «entendu des échos dans la presse» mais se dit «franchement pas au coeur du sujet» et précise : «Vous êtes le premier à m’en parler directement.»

Il y a au moins trois députés qui se préoccupent de la question à propos de laquelle ils ont posé des questions écrites à l’Assemblée. Il s’agit de Jean-Louis Bianco (PS, Alpes de Haute Provence) qui demande notamment au ministre de l’industrie «de bien vouloir lui faire savoir l’état d’avancement des recherches en France, leur coût précis, la manière dont le Gouvernement compte y associer les élus et les représentants associatifs et, surtout, l’ensemble des mesures de sécurité prévues pour garantir la protection de l’environnement pour ce type d’exploitation particulièrement risquée.»
«Conflits et nuisances particulières»
Il y a aussi François-Michel Gonnot
(UMP, Oise) qui «se demande néanmoins si le Gouvernement ne devrait pas réfléchir, dès à présent, sur les conditions particulières qui devraient être mises à leur exploitation, et ceci afin d’éviter les difficultés, les conflits et les nuisances particulières que cette exploitation pose, notamment aux États-unis et au Canada.» Et enfin Jean Tiberi (UMP, Paris) qui écrit : «Ces perspectives pourraient augmenter la production nationale de gaz et alléger d’autant les importations d’énergie. Il souhaite donc connaître les mesures d’incitation que compte prendre le Gouvernement afin d’encourager sur le sol national la recherche et l’exploitation de ce sous-sol minier.»

En tout cas, force est de constater que jusqu’à présent, l’information du public a été faite essentiellement par les militants et la presse. Sollicité, le ministère de l’écologie n’a pas répondu sur l’organisation éventuelle d’un débat public ni sur les raisons pour lesquelles il n’avait pas communiqué sur l’attribution des permis. Même Total avait publié un communiqué après l’obtention des permis. Du côté de la préfecture de région, c’est aussi silence radio mais ce n’est pas de cette institution qu’il faut attendre une grande transparence. Même si elle dépense pourtant pas mal d’énergie et d’argent pour faire de la communication. Sa communication et aussi celle du préfet.
Décret du préfet
C’est pourtant la même préfecture via la direction régionale de l’environnement (Dreal) qui devrait instruire les dossiers de demandes de forage d’exploration qui sont codifiés par le décret 2006-649 du 2 juin 2006 (voir notamment l’artile 6). Avant que le préfet ne prenne un décret pour l’autorisation du forage. La préfecture a dû aussi sans doute participer à la consultation sur les permis d’exploration. Mais elle s’est bien gardée d’en parler à la presse ou aux citoyens. Transparence quand tu nous tiens.
Total, en revanche, n’hésite pas, aujourd’hui, à communiquer et à répondre aux questions des journalistes. Et à bien souligner que «la préoccupation environnementale est prise en compte au moment où je vous parle», ou encore : «Si on doit lancer un projet de cette ampleur en France, on le fera de manière responsable.» Et sur l’organisation d’un débat public ? «On est toujours favorables à la discussion.» En revanche, la société est moins bavarde sur deux sujets. L’instauration d’un moratoire ? «Pas de commentaire à faire.» Un avis sur le film Gasland ? «Pas d’avis.»



«Logique de propagande»
José Bové le 25 février 2009 à Montpellier (photo : Xavier Malafosse)Faut-il faire confiance aux déclarations de Total ? José Bové répond : «Pour l’instant, on est uniquement dans la logique de propagande. Toutes les firmes pétrolières se sont jetées dessus. Maintenant qu’ils se rendent compte qu’il y a des problèmes, parce que la population n’aime pas être mise devant le fait accompli, forcément ils sont en train d’essayer de trouver un moyen de revenir. Si on regarde ce qui s’est passé aux Etats-unis et au Canada, la réalité est toute autre. Les problèmes posés par la fracturation sont des problèmes majeurs.»
Le militant démonteur du Mc Do de Millau et faucheur volontaire de champs d’OGM est-il prêt à recourir à ce type d’actions pour lutter contre les forages de gaz de schiste ? «L’idée c’est déjà de faire le travail d’information et de dire aux pouvoir publics : il n’est pas question de continuer sans ce débat large sur l’ensemble des problématiques. Ensuite, si demain il devait y avoir des forages de prospection, il faudra que les communes et les gens sur les territoires soient informés. Auquel cas, on verra quelle est l’attitude. Mais si le gouvernement s’entête à vouloir imposer ces forages de cette manière-là. Il est évident que les gens ne laisseront pas faire ces forages même de prospection. Il est trop tôt pour dire quelle forme prendrait cette mobilisation mais mobilisation il y aura, c’est certain. [...] Il est impossible théoriquement de faire des forages de prospection sans des arrêtés préfectoraux les autorisant. Il faudra bien qu’à un moment les choses soient claires sachant qu’en plus, on est sur des territoires où la question de l’eau est centrale et où les nappes phréatiques sont d’une fragilité extrême.»
Reste une question qui est rarement posée dans les articles sur ce sujet : cette ruée vers le gaz de schiste n’est-elle pas le reflet des besoins insatiables de nos sociétés et des individus consommateurs qui les composent de toujours plus de déplacement, plus d’objets, plus de viande dans l’alimentation, etc. ? Réponse de José Bové : «S’il n’y a pas un débat d’abord sur les questions d’énergie et sur les priorités aujourd’hui… Le principal problème, c’est le gaspillage énergétique.»


source : http://www.montpellier-journal.fr/

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MessageSujet: Re: Pétition Gaz de schiste    Pétition Gaz de schiste  EmptyLun 31 Jan - 18:35

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MessageSujet: Re: Pétition Gaz de schiste    Pétition Gaz de schiste  EmptyMar 1 Fév - 10:46

C'est bien !! zoob
Lyon t'es pas loin d'une des zones a exploitée en plus !!!

Franchement : matez le documentaire "Gasland " qui montre un cas concret d'exploitation aux USA et tout ce que cela a engendré :
http://www.gaslandthemovie.com/
Aussi visible sur dailymotion (en sous titré) en 6 parties : https://www.dailymotion.com/video/xgr5im_gasland-vostfr-1-6_news

Je vous mets le trailer il montre deja bien ce qui va nous tomber sur la gueule! (mais je le trouve pas en VF ou en ST)
Citation :

En 2006, Josh Fox et sa famille reçoivent une lettre d'une compagnie de forage minier. Elle leur propose une véritable manne financière: près de 100.000 dollars contre le droit d'installer des puits sur 10 hectares de leur propriété. «Vous remarquerez à peine notre présence», promet-elle. Au lieu d'accepter, Josh Fox parcourt le pays et enquête.
Il rencontre de nombreux habitants qui ne peuvent plus boire l'eau du robinet –les compagnies pétrolières leur fournissent souvent de l'eau minérale. Des analyses révèlent la présence de benzène, méthane et de nombreux produits toxiques, parfois dans des concentrations 1.500 fois supérieures aux normes de sécurité. Tellement que chez certains, l'eau du robinet devient inflammable. Dans ces voisinages, des animaux tombent malades et des habitants se plaignent de multiples problèmes de santé.
Si certains acceptent la manne financière, la construction du puits leur est parfois imposée: dans beaucoup d'Etats américains, le propriétaire d'un terrain n'est en effet pas propriétaire du sous-sol. Certains sont satisfaits et ne se plaignent d'aucun effets secondaires. D'autres entament des procédures judiciaires qui se terminent souvent par un règlement à l'amiable et par le versement d'indemnités en échange d'une interdiction de témoigner dans les médias –via la signature d'un non disclosure agreement



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MessageSujet: Re: Pétition Gaz de schiste    Pétition Gaz de schiste  EmptyMer 2 Fév - 13:26

En fait je viens de me rendre compte que d'autres régions de France sont "touchées" par la vente de parcelles destinées a l'exploration puis a l'exploitation de ce gaz:

http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/france_tm_07_2010.pdf

Vérifier que ça n'arrive pas chez vous et :

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